Un endroit bien intéressant pour une personne intéressante | Shakespeare

St David

Shakespeare Forbes & Scyllah B. Chesterfield

Nous étions le soir, il était vingt-deux-heures-trente-cinq pour être exact, les cours étaient terminés depuis dix-huit-heure, j'errais dans les rues de Cardiff sans but. Je m'étais arrêté à un endroit depuis maintenant vingt minutes, St David, c'était un endroit où j'aimais y aller, non pas pour les magasins, je n'étais pas quelqu'un de matérialiste, je voulais seulement avoir une belle vue sur les humains. Je soupirais, admirait le paysage qui se posait devant moi, les humains pressé en claquant leurs argent était un spectacle à vous couper le souffle. C'était un endroit reposant pour moi, puisque je souffrais intérieurement de la solitude, étant vampire, les gens ne viennent pas facilement à moi. Puis, soudain une idée me venait à l'esprit, j'allais faire le petit devoir que le professeur nous a donné à faire dans une matière bien ennuyante, je sortais mon bloc-note & commençait à écrire. Communication, tout le contraire de moi, pourquoi avoir choisi cette voie alors ? Je l'ignorais, j'aimais la littérature. Malgré tout, j'étais assez forte, unes des premières de ma classe. . Je continuais à écrire, ignorant les gens qui passaient, des acheteurs me disais-je

Je soupirais, mon don de télépathie m'agaçait parfois, non le Centre Commercial n'était donc pas un endroit pour travailler, car il y avait tellement de gens que je n'entendais qu'un énorme brouhaha dans ma tête. Mais cependant je continuais à écrire, car je savais qui s'apprêtait à venir me rejoindre : Shakespear Forbes, un ange dans tous les sens du terme. C'était un ami proche on pouvait même dire jusqu'à "meilleure ami" si vous le vouliez. Je l'apprécias vraiment car il m'apaisait « tu n'as rien d'autre à faire scyll' ? Je pense que je suis une compagnie plus interessente que ce stupide devoir non , en tout cas , je l'éspere » Je continuais d'écrire, mon odorat surdéveloppé avait détecté une odeur bizarre provenant de mon cher ami. En faite il empestait, c'était digne de l'odeur que dégageait les loups-garous, je fis une grimaça, mon nez que piquait je le retroussais vivement. Il n'aurait pas dû fumer une cigarette, même si je ne pouvais pas lui interdire il était déjà mort en quelque sorte.

« En tout cas mon devoir n'empeste pas lui »

Je n'étais pas d'une nature très douce, il fallait être très patient avec moi, mais comme j'aimais beaucoup Shakespeare je fermais mon devoirs le rangeait dans mon sac en une seconde et le fixait. Non je n'allais pas lui parler, j'écoutais ses pensées, il s'ennuyait, il s'était disputé avec sa petite amie, car elle voulait qu'elle lui fasse l'amour -je grimaçais à cette pensée, puisque j'étais innocente sur ce domaine - & il s'était disputé avec sa meilleure amie.

« La prochaine fois, j'aurais aimé que tu ne viennes pas me voir, car tu t'ennuie Shakespeare »

Un rictus s'était dessiné sur mes lèvres, oui il fallait être très patiente avec moi.

je me demandais quand est-ce qu'il allait terminer de penser à sa vie affective. L'amour, le sexe tout cela m'était étrange et à en voir comment souffrais Shakespeare je préférais que ça reste étranger à mes yeux, je le regardai, écoutant ses pensées, puis il avait daigné de parler


« tu te trompes . je fuis dafne et je suis tomber sur toi , c'est tout . » Donc il fui Dafne, car il l'a trompé avec sa meilleure mie Nevaeh. Il fait fort là Shakespeare ! Digne des séries soap qui passaient à la télé en après midi pour les vielles fans de ragots. Mais j'étais contente qu'il soit là à mes cotées puisqu'il me manquait, cela faisait un bon bout de temps qu'ils ne s'étaient pas revus, à en lire ses pensées il était très préoccupé.


« Tu sais bien que ce n'est pas de ma faute si je suis capable de lire tes pensées, j'aimerais tant ne pas connaitre ta vie sexuelle dans les moindres détails ! Si tu pouvais arrêter d'y penser, j'apprécierais, puis si tu veux que je t'aide à oublier un moment je suis là »

je pris sa main, signe de soutient. Je serais toujours là pour lui. Il était mon ami